Le gagnant de la semaine
Ça y est plus besoin de chercher le juste prix est tombé! C'est donc bien 25 000$ qu'il vous faudra débourser au printemps si vous comptez essayer de gravir le mont Everest. A savoir que en automne le permis ne coute « que » 12 500$ et 6 250 en hiver. Alors ces prix sont valables uniquement pour la voie « normal » c'est à dire la plus facile du côté népalais. Les permis du côté Chinois reviennent un peu moins cher mais la voie s'avère plus dangereuse.
Il faut savoir que du côté Chinois, les permis sont beaucoup plus difficile à obtenir, le gouvernement régule très fortement le nombre d'expédition. Il limite le nombre de personne présente sur le camp de base pour limiter les impacts de l'activité. Cette pratique n'est ps du tout en vigueur du côté Népalais, si c'était le cas le manque à gagner pour le gouvernement serais énorme. Du coup en ce moment il y aurai plus de 3000 personnes au camp de base pour tenter le sommets. Une vrai ville ou tout est possible, fêtes tous les soirs, on peut manger de tout, allé au ciné... du grand n'importe quoi. Grimper l'Everest aujourd'hui n'a plus rien a voir avec de l'alpiniste ou même de l'Hymalaisme, c'est un business ou l'ego prend le pas sur l'Homme. Le vice de l'argent va vraiment loin, les porter sont payer en fonction de l'altitude qu'ils ont atteint. Il faut savoir que en règle générale, chaque « grimpeur » est encordé avec un porteur d'altitude ou « sherpa climber », et étant donné la prime que le sherpa touche pour atteindre le sommet, il arriverait assez souvent que le sherpa doive tirer le client au sommet. A mon avis, il doit se passer des choses vraiment moche là haut, des choses assez inimaginable pour nous qui avons un certaine éthique de la montagne.
Mieux vaut donc se tourner vers de sommets secondaires et même si l'égo ne sera pas autant satisfait qu'en grimpant au sommet du monde, on pourra d'autant plus profiter de la montagne, de la solitude, et aussi économiser quelques sous.